Devil May Cry
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 Rajh, the first but not the last, I hope

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2 participants
AuteurMessage
Rajh

Rajh


Masculin
Nombre de messages : 6
Age : 35
Race et Fonction : Hybride humain démon de la Daemon Hunt
Armes/Pouvoirs : Le Gévaudan, une paire de Fléaux démoniaques (t'en fais pas, ça suffira à te mettre en miettes...)
Date d'inscription : 24/06/2008

Rajh, the first but not the last, I hope Empty
MessageSujet: Rajh, the first but not the last, I hope   Rajh, the first but not the last, I hope Icon_minitimeMer 25 Juin - 12:37

Nom & prénom : Duncan Rajh McCoy, connu sous le pseudonyme de Rajh.
Âge du personnage : Né un 16 Juin 1942, a donc 66 ans.
Race : Rajh est un hybride de démon est d’humain, avec tous les avantages et inconvénient que cela peut lui conférer
~Clan : Daemon Hunt
Poste : Officier de terrain (ne siège pas au conseil)
Relation(s) : Rajh connaît tous les autres membres de la Daemon Hunt, en tout cas tous ceux dont l’existence est connue de quelqu’un d’autre que le conseil. La plupart de ses supérieurs ne l’apprécient pas en raison de ses méthodes, mais tous le reconnaissent pour ses exploits sur le terrain.


Description physique :

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Rajh ne fait pas son âge. En effet, avec sa carrure d’athlète et son 1m92, sa musculature imposante sans pour autant le faire ressembler à une armoire à glace, ses longs cheveux bruns à la coupe…originale, son visage pas si désagréable que ça à regarder, dépourvu de rides et autres signes de vieillesse, on lui donnerait plutôt 25 ans que la soixantaine passée qu’il a réellement. Ses yeux sont gris comme de l’acier, et peuvent aussi bien pétiller de joie, de malice que de rage, selon le cas, et malgré l’âge, il est totalement imberbe. Malgré le nombre impressionnant de blessures qu’il a récolé, il n’en a aucune cicatrices, disparues en raison de sa régénération et de l’utilisation de Devour en combat. S’il n’était pas si impressionnant, sans doute aurait-il même du succès auprès de la gente féminine…

Côté vestimentaire, il s’habille de façon pour le moins…excentrique. Un pantalon généralement blanc ou gris clair, une veste légère de cuir noire et rouge, un bandeau de tissu renforcé de fer pour maintenir ses cheveux, des mitaines et des bottes de cuir marron, renforcées d’acier sur le dos des mains et à l’avant du pied, de façon visible pour les mitaines mais pas pour les bottes, et une imposante ceinture de cuir, marron elle aussi, à la boucle d’acier sur laquelle est griffonnée « FREE », c’est-à-dire liberté. De cette ceinture pendent un espèce de pagne en tissu rouge, agrémenté du même cuir dont est constitué sa ceinture, avec les mêmes boucles dorées.

Si Rajh n’aime pas particulièrement mettre autre chose, il n’a parfois pas le choix, et est parfois forcé de mettre des vêtement « normaux » ou simplement un long manteau de cuir pour dissimuler le Gévaudan, son arme de prédilection, deux fléaux d’acier sombre à tête en forme de gueule de loup, dont les yeux luisent parfois d’une lueur bleutée inquiétante. Le genre de chose qu’un humain « normal » qui n’est pas au courant de l’existence des démons ne comprendrait pas, et Rajh aime encore moins devoir s’expliquer au poste de police le plus proche que de porter des manteaux, même s’il les enlève dès que possible.


Description du caractère :

On pourrait penser le caractère de Rajh facile à cerner, mais en réalité, il n’en est rien : il n’est pas juste une bête sauvage sous forme humaine, loin de là. Certain le considèrent comme étant idiot et attardé, mais Rajh n’est pas plus idiot qu’un autre : il n’aime juste pas les plans compliqués à 28 étapes et 13 situations de secours au cas où ça tournerait mal. Grand original, Rajh fait rarement comme les autres et suit plus souvent son instinct que sa raison, fonctionnant au coup de cœur, certains diraient au hasard, et pas autrement dans la grande majorité des cas de figure qu‘il est amené à rencontrer. D’un caractère entier et joyeux en dehors des combats, bon vivant, il est également un ami sur qui on peut compter tant qu’on ne marche pas en travers de son chemin. Il n’est pas dépourvu d’un certain charisme et d’une sorte d’aura d’autorité inconsciente : personne ne contestera les rares ordres qu’il pourrait être amené à donner.

Certain le pensent généreux, mais il n’en est rien : il est juste extrêmement dérangé quand il a trop de possessions matérielles alors il n’hésite pas à s’en débarrasser. En réalité, pour lui, seul le Gévaudan, ses quelques habits et une petite somme d’argent en cas de coup dur lui suffisent, le reste n’est que luxe inutile. Il se soumet avec zèle et acharnement à un entraînement spartiate, maintenant ses capacités physiques au top et s’entraînant sans cesse au combat, sans armes ou avec le Gévaudan.

Cependant, en combat, sa rigueur disparaît, et la bête refait surface, sans que l’on sache exactement qui est la bête, une face cachée de sa personnalité ou l’âme même du Gévaudan ? Enfin peu importe, le résultat est là : sur le champ de bataille, porté par l‘excitation et la rage, il n’est plus le même, et est d’un courage tenant plus de la témérité et de la folie que d’autre chose, se jetant sans hésiter sur l’endroit le plus dangereux, persuadé qu’il valait mieux mourir après avoir triomphé du plus puissant, ou du moins en ayant essayé, se jetant vers le danger comme s‘il cherchait la mort, sans jamais jusqu‘à présent l‘avoir trouvée. Ceci combiné à une vision très personnelle de l’autorité et à un franc parler légèrement excessif a fait que les dirigeants de la Daemon Hunt ne lui ait pas confié de poste plus important au sein de l’organisation, et qu’il n’est officier qu’à titre honorifique, n’ayant de façon rigoureuse personne sous ses ordres. Cependant, Rajh est un atout précieux grâce à ses talents pour donner la mort et son absence de crainte envers sa propre fin, en plus de finalement n’être pas si important que ça, et étant donc tout de même sacrifiable si il le fallait…


Histoire du personnage :
Tout a commencé il y a longtemps, il y a mille ans pour être plus précis. Pas exactement mille ans, mais mille ans quand même. Enfin bref, j’en étais où ? Ah oui, tout a commencé il y a longtemps, avec l’apparition dans le monde des hommes d’un de ces êtres que l’on nomme démons. Enfin, une de ces êtres plutôt. Rajh était une démone bien faite de sa personne, aux longs cheveux couleur de flamme, dotée d’une fine queue fourchue et de cornes imposantes sans pour autant nuire à l’harmonie de son plaisant visage. Une créature de rêve donc, mais une créature de rêve assoiffée de sang et de batailles, lassée d’affronter les démons et cherchant un peu plus d’exotisme du côté des humains. Inutile de dire qu’elle ne fut pas déçue : elle répandit la mort dans tout la Grande Bretagne, tuant tous les chevaliers qui tentaient de mettre fin à ce carnage, jusqu’au jour où elle affronta un petit seigneur écossais, Sir William McCoy, qui parvint par un miracle inespéré à lui tenir tête pendant une petite heure. Charmée par le courage de l’humain et par son physique assez agréable, elle décida de l’épargner, et plus si affinités. Et des affinités, il y en avait…

Quand Rajh revint dans le monde d’en dessous, il s’était passé sur Terre environ deux ans. Pour les démons, un tel intervalle est ridicule, comme pour toute créature éternelle, mais si son absence ne fut que peu remarquée, son changement de caractère lui, ne passa pas inaperçu : sa soif de batailles avait quasiment disparu, et si ils se réjouissaient assez de ne pas avoir un adversaire de plus, son influence décrut petit à petit, pour ne plus devenir qu’un démon de pacotille, alors qu’elle avait été non pas la meilleure, mais elle se défendait assez bien toutefois, autrefois crainte de beaucoup. Pendant ce temps, Sir McCoy élevait seul son fils, souvenir que Rajh lui avait laissé. L’enfant grandit, et le père finit par mourir. Arthur Rajh McCoy prit alors ses affaires et entama une longue vie d’aventurier. Il avait alors 51 ans, mais n’en paraissait pas plus de 20, au plus grand étonnement de tous. Inutile de préciser qu’il rencontra bien des femmes et des aventures avec ces dernières, parfois sans lendemain, parfois non. Ainsi naquit Walter Rajh McCoy, le fils que lui avait donné la première femme qu’il avait rencontré. Quand celle-ci mourut à son tour de vieillesse, au alentours de la septième croisade, et Walter fut emmené par son père à l’aventure, chassant les démons qu’ils rencontraient, se battant pour les armées qui les recrutaient, vivant pour ainsi dire au jour le jour.

Le 16 Juin allait bouleverser leur existence. Ils avaient été payés par le Roy de France pour dénicher celle qu’on nommait « la Bête du Gévaudan », et, le 19 juin, ils la trouvèrent, enfin, les trouvèrent. En effet, il n’y avait pas une bête mais deux bêtes. Deux loups immenses, à la peau solide comme de l’acier, aux griffes tranchantes comme des lames et aux yeux luisant d’une lueur maléfique : des Démons…

Le combat titanesque s’engagea. Pendant deux jours et deux nuits, le père et le fils tinrent tête aux Démons. Malgré de nombreuses blessures graves, ils parvinrent à tueur l’un, puis l’autre. L’essence des bêtes démoniaques ne fut pourtant pas détruite : elle prit la forme de deux fléaux d’armes étranges aux mêmes capacités que celles que les Démons avaient de leur vivant. Chacun prit un fléau en trophée, le Roy fut prévenu et fit organiser une mascarade pour cacher la vérité au peuple qui devait ignorer l’horrible vérité. Mais l’histoire ne s’arrêta pas là…

La soif d’aventure et de combat du père et du fils fut décuplé après cet incident, et ils s’attaquèrent directement au monde d’en dessous. Malheureusement, peu après avoir franchi le portail, ils furent attaqué par une cohorte de démons. Ils vendirent chèrement leur peau, mais Arthur y laissa la vie et Walter fut emprisonné au plus profond de la Géhenne. Il ne dut sa liberté qu’à une démone rousse à l’expression plus triste qu’un jour sans soleil, qui le libéra discrètement et lui révéla que les Fléaux avaient une volonté propre de meurtres et de sang. Walter décida toutefois de les utiliser, et grâce à eux il parvint à s’échapper du monde d’en dessous et à revenir à Londres. Dans la prison, personne ne comprit comment il s’était libéré, et personne ne remarqua que certains démons avaient été tués à la façon de Rajh, à sa grande époque.

Walter décida de faire route vers les Amériques peu après. Il vécut la guerre d’indépendance, fut grièvement blessé et recueilli par une tribu indienne qui le soigna. L’une des filles du chaman succomba à ses avances, et ils se marièrent peu après. Deux enfants naquirent de cette union, une fille et un garçon, Sarah et John. Il vécut parmi eux avec ses enfants pendant vingt ans, résistant à l’appétit du Gévaudan, nom qu’il avait donné aux fléaux maléfiques. Mais des pillards attaquèrent la tribu, tuant sa femme, son fils et tous les autres, à l’exception de Sarah qui fut capturée. Il prit alors le Gévaudan et partit en chasse, une chasse de huit ans, se soldant par la libération de Sarah par la force et la violence. Elle était traumatisée par ce qu’elle avait vécu, mais Walter s’occupa d’elle comme un père se doit de le faire. Elle ne réussit à franchir le cap que bien plus tard, aux alentours de 1940, quand elle tomba sous le charme d’un officier américain de l’infanterie. Il mourut au combat le 6 juin 1944, sur la plage d’Omaha la sanglante, mais cette fois ci, en plus de pouvoir compter encore une fois sur son père, elle avait un fils que son mari lui avait laissé : Duncan Rajh McCoy. Duncan fut formé dès son plus jeune âge au maniement du Gévaudan, enchainant exercices mentaux et physiques pour parvenir un jour à le porter et à l’utiliser, comme son grand père avant lui. Un matin de mai 1969, un coéquipier de Walter vint livrer un colis à sa fille, dans lequel se trouvait le Gévaudan : Walter avait périt contre plus fort que lui. Sarah prit sa place au front contre les démons et trouva elle aussi la mort au cours d’un assaut contre le portail de Los Angeles, quelques années plus tard. Cependant le Gévaudan ne fut pas perdu : un ambitieux sournois l’avait récupéré et lui proposa de rejoindre son organisation vouée à la destruction des démons. A cette seule condition Duncan retrouverait le Gévaudan.

Duncan fut forcé d’accepter, mais il a eu sa revanche : à la Daemon Hunt, on se mord les doigts d’avoir laissé un tel fou furieux entrer dans son organisation, malgré le fait que Duncan, alias Rajh en hommage à son ancêtre, soit un des combattants les plus puissants et efficaces de l'organisation. Et oui, on a pas toujours ce qu’on veut…


Motivations / But(s) du personnage :
Aussi étrange que cela puisse paraître, Rajh n’est pas poussé par un but particulier mais par sa soif de combats. Son seul objectif est de se battre autant que possible, contre le plus d’adversaires différents, de préférence plus puissants que lui. D'ailleurs, il ne veut absolument pas fermer les portails, juste éclater ceux qui en sortent. Un monde sans démons et des portails scellés seraient d'un ennui mortel pour un homme comme lui...

En résumé, si d’autres se battent pour vivre, lui vit pour se battre.


Eventuel(s) pouvoir(s) / Aptitude(s) spéciale(s) du personnage / Style(s) de combat :
Premièrement, son ascendance démoniaque lui accorde quelques avantages, ou pouvoirs, appelez ça comme vous le souhaitez. Ainsi, il dispose d’une force et d’une résistance environ 2 fois plus forte qu’un humain de sa carrure. Son agilité, sa vitesse, ses capacités de perception et de régénération sont légèrement plus efficace qu’un humain (environ 1,5 fois plus). Son espérance de vie est plus grande qu’un humain, et il vieillit bien plus lentement également.

Rajh se bat de deux façon différentes. Contre un ou des humains, ou des démons très faibles, il se contentera de se battre sans armes, enfin si on considère que des mitaines et des bottes renforcées de plaques d’acier ne constituent pas d’armes à proprement parler.

Sinon il utilisera l’arme de sa famille, le Gévaudan. En fait, ce n’est pas une arme mais deux : deux fléaux d’armes à tête de loup, gueule légèrement ouverte, aux yeux luisant d’une lueur bleue quand des démons approchent. L’un de ces fléaux est Howl : quand il frappe, il produit une onde sonique sur une zone de 2 mètres de rayon, proportionnelle à la violence du coup. L’autre est appelé Devour : quand il frappe, il absorbe une partie de l’énergie vitale de la cible et la transmet à son porteur.

Qu’il se batte avec le Gévaudan ou non, le style de combat de Rajh est efficace, rapide et direct : pas de plans alambiqués, d’approches furtives ou autres, juste une charge au milieu du point le plus chaud de la ligne ennemie, par le chemin le plus court : la ligne droite. Cependant Rajh n’est pas complètement abruti pour autant, et sait très bien utiliser au mieux ses armes, se battant avec l’instinct d’une bête sauvage et l'expérience d'un maître d'armes, et jusqu’à présent ça lui a toujours réussi.


Expériences en Role Play : Une petite demie douzaine de forums RP sur différents thèmes.
Motivations du joueur : Grande
Âge du joueur : 20 ans
Prénom du joueur : Stéphane


Dernière édition par Rajh le Jeu 14 Aoû - 20:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Rajh, the first but not the last, I hope   Rajh, the first but not the last, I hope Icon_minitimeVen 27 Juin - 13:31

Fiche parfaite ^^
Magnifique histoire, jusqu'à... jusqu'à l' "ambitieux sournois" !!

Tiens, juste pour ça, j'ai pas envie de te valider ! Na !

Mais si, mais si, aller... Je te valide quand même Monsieur Loup Détraqué ^^

Bon jeu à toi ^^

FICHE VALIDEE !
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Rajh, the first but not the last, I hope
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